[Ta-Metru] Atelier des forgerons industriels

Je marche rapidement dans ce qui fut et qui reste mon territoire préféré : Ta-metru, citée des masques et du feu, et ce qui se passe dans ma tête doit sûrement être aussi chaud que la fournaise environante. Tout d'abord je suis en colère, bien qu'il m'est accordé un temps de reppot, l'inaction me pèse déjà. Je ne peux oser sortir de Metru-nui sans que je ne me sois équipé convenablement au préalble, car si je devais tomber sur un soldat du protectorat, ma mort serait aussi sûr que l'est le fait que mon commandant ai perdu un bras. Étant totalement d'acord sûr le fait qu'il faut que toutes les factions devaient s'allier contre le protectorat, je ne peux pas non plus aller décimer les rangs ennemis. Alors que faire ? je regarde ma bourse : seulement 160 makokis, pas de quoi faire le fier, et encore moins pour s'acheter une arme.

Je regarde une forge ... pourquoi un soldat ne pourrait-il pas travailler à l'intérieur ? Cela m'occuperai les mains, et les matorans serait sûrement reconnaissant encore plus qu'il ne le sont déjà à la Triade. Je me dirige donc vers elle, en éspérant que des matorans veulent bien travailler côte à côte avec un toa ...

Je m'avance, peu à peu, des bruits familier me parviennent, le martèlement du marteau sur un disque kanoka, les finissions d'un masques, ou encore des senteurs : du protodermis brulé, une légère odeurs de soufre. Plus je me rapproche, plus il fait chaud. J'y suis enfin, je pousse la porte et entre, à l'intérieur, je voix plusieurs matorans, chacun s'affère : certains ébauche la forme du masque dans un disque, d'autres le frappe, le tenant avec une pince sur une enclume. D'autres encore, font les détails, les façonne plus en détails jusqu'à lui donner sa propre identitée. Je regarde cela attentivement, puis je me dirige vers un matoran, qui se fige. Vais-je annoncer une mauvaise nouvelle ? Devront-t-ils quiter leur foyer ? Mais non, je m'agenouille vers lui et lui dit :

- Y a t-il du travail pour un toa ?

Le matoran me regarde, surpris, il n'est pas habituel qu'un toa demande une tel chose en temps de guerre, il ne peux s'empêcher de poser une question.

- Et quel est donc la raison de cette demande ? Nous n'avons rien à donner à un noble toa.

Je réfléchis un instant à ma réponse, puis répond :

- Est-il interdit à un ancien forgerons de, pendant les quelques jours de repos qui lui sont accordés, retrouver son ancienne activitée pouvant le ressourcer ?

Le matoran me regarde, hésite, puis me mêne vers un établis tout en me parlant.

- Hé bien, il y a toujours de la place pour un travailleur dans une forge, je suis Kapura, on me dit lent, mais je suis aussi le plus prudent des Ta-matoran ! J'ai été et je reste le premier des chroniqueur sur Mata-Nui.

Au moment où je me saisis d'un outil, mon comunicateur sonne, j'écoute rapidement le message puis partit en disant au Ta-Matoran :

- Et bien, il semble que je ne puisse pas forger aujourd'hui, mais je reviendrais sûrement. À un de ces jours, Kapura, et que ton destin guide tes pas vers le juste chemins !

Sur ce, je sortis et courut vers le colisé.

Je reviens à cette forge, il est bon de sentir un air autre que celui d'une pièce renfermée ou plusieurs toa sont réunis. Je rentre dans le bâtiment, salut les travailleurs et m'attelle au travail. J'ai emmené mes propres outils. J'interpelle Kapura.

- Si un toa entre et me demande, veux tu bien l'emmener à moi ? nous devons parler.

Taka-i , toujours à moitié déboussolé heurta une roche . Il partit en l'air s'écrasa sur le sol et un pelle lui tomba dessus.

*Ouille..J'crois que j'ai fait une gaffe*

Il se redressa .

-Hep ! Toi ! Toi le TOA ! intervint un vieux matoran .

-Moi moi ? je suis toa ?

-Oh..voyons vous avez tout fichu en l'air... C'est vous le toa ?

Taka-i fit la moux.

-Allons c'est pas grave , il y a un autre toa qui veut te voir la bas allez vas y !

Taka-i se retouna , sa jambe frappa l'enclume du matoran .
Il se tient la jambe à cause de la douleur mais de pu pas ouvir la porte il tomba par terre.

le Ta-Matoran pouffa de rire.

-faite attention il y a une ...

Taka-i le comprit trop tard.

-Marche...

Il se redressa et vit un autre toa.

-C'est vous euh..Exo je sais plus quoi ?

Exo-Jal comprenait maintenant pourquoi son amis ne se souvenait de rien : vu le nombre de coup sur la tête qu'il devait prendre par jour, il ne devait pas se souvenir de grand chose.

- Exo-Jal. Tu m'as pas l'air très en forme mon gars ... bon, c'est pas grave, je vais te redonner le sens de l'équilibre en plus de la mémoire. Si tu ne le sais pas déjà, tu es Taka-i, et tu fais partis de la Triade, et avant de l'ordre de Mata-Nui. Ton commandant fut Brême, qui maintenant n'est plus.
Il a été tué par ce qui nous à envahit il y a peu : le Protectorat de l'ombre, une organisation assez nouvelle, qui est commandé par le Maître, une personne venu ... d'ailleurs.
Avant, je ne sais pas si tu t'en souviens, nous n'étions pas allié, je faisais partit d'une organisation nommée les grands êtres. Les autres anciennes faction étaient : la main d'Arthaka, qui c'est soudé à la votre, la confrérie des Makuta, maintenant un empire, anciennement commandé par Teridax et maintenant par Phantrakk, la ligue des six royaume, anciennement commandé par Haoma qui est morte, cette organisation c'est allié avec les chasseurs de l'ombre pour former l'alliance criminelle.

Les Yeux de Taka-i s'ouvrirent tous ronds.

-Oui ! Bien sur ! J'aurais du y penser ! Je me souvient à présent.. Enfin un petit peu

- Hé bien, peut être que la vue de nos membres te rafraichira la mémoire, allons au colisés !

Sur ce, je tournais les talons et me dirigeais vers notre QG.

-Hey ! Hey ! Oh non ... Bon pas grave... J'avais pas qu'à roupiller.. Et !
toi là oui le forgeron !
C'est où le Colisé?

Le forgeron lui montra une grande tour s'élevant dans les cieux.

-Vous pouvez pas vous trompez .

-Okay ! Merci Sympa !

*Faut que j'arrète de tomber dans ce mystérieux et sombre sommeil moi ..*

Je marchais dans Ta-metru, calme et serin après une longue méditation, saluant gaiement tous les forgerons que je croisais. J'entrais dans la forge maintenant connue, me dirigeant droit vers la pièce où se trouvait tout ce dont j'avais besoin. Là, je fis mon choix, prenant deux disques que je trouvais d'assez bonne qualités, je m'emparais au passage de tous les outils dont j'avais besoin. Après ces préliminères, je me plaçait près de l'enclume m'étant assignée et je sortais mes épées, que je commençait immédiatement à chauffer pour pouvoir ensuite mieux les modeler. quand le métal fut d'un rouge flamboyant, je commençait mon modelage. Alliant les deux épées en une seul, l'arme commença à prendre forme : de même dimension qu'une épée quelconque, elle en était tout de même plus solide, mais toute aussi légère. La ligne était parfaite. La lame, à double tranchant, avait une forme particulière : elle était ondulée, faisant penser à la mer placée horizontalement et à une flamme verticalement, elle se divisait en trois partie à la fin, toute aussi ondulantes, qui se terminaient toutes en pointe.

Satisfait de mon travail, je m'attaquai aux deux disques. Les rétrécissant, ils ressemblaient maintenant à deux petis boucliers, dans le même style que la lame, c'est à dire ondulé. je les plaçai tel qu'ils pouvaient servir de deux petits boucliers. Je sortis enfin une grande bande de cuire de mon dos, entourant le manche en métal avec, je saisis ensuite mon arme, l'observant sous toutes ses coutures. Elles prit alors une teinte claire, presque d'une blancheur imaculé, le tranchant avait par contre prit une couleur plus orangée, s'accordant parfaitement avec mon armure. Un oeil observateur aurait remarqué que les reflets, déjà jaunis par la lumière que diffusait la forge, semblait flamboyer, et prenait des teintes virant entre le rouge et l'orange clair.

Satisfait, je plaçais derrière mon dos ma nouvelle épée, et sortit de la forge, saluant par la même occasion Kapura d'un ton joyeux.

[HRP] J'ai le même nombre de point d'ATK qu'avec mes deux sabres, ce n'est qu'un simple changement d'arme. [/HRP]

Exo-Jal jeta un coup d'oeil à son communicateur : il avait reçu un message.
Il se trouvait derrière la forge où il avait pris l'habitude de se rendre, s'entraînant avec sa nouvelle épée contre un Manequin de déjà bien amoché. Il la rangea dans son fourreau et se dirigea vers la forge. Là, il dit aurevoir aux quelques Matorans qu'il croisait, puis enfourcha son Ussanui.
Il partit vers les Colisés.

Tramor arrivait des chutes de Protodermis. Le dernier Général de la Triade était désormais célèbre sur Metru Nui, depuis l'arrivée naguère de la Communauté des Grands Êtres, et fut vite reconnu...

« Oh ! Commandant Tramor ! Que nous vaut cette visite ? », dit le forgeron visiblement impressionné...

- Ne soyez pas intimidé forgeron, bientôt il faudra m'appeler Amiral, alors ne vous laissez pas impressionné par le statut actuel d'un vétéran comme moi, rit Tramor d'un clin d'œil au maskmaker !

- Un de mes agents m'a conseillé votre atelier pour un contrat de la plus haute importance !

On me dit que vous êtes des forgerons hors-pairs !

La vie est rude en temps de guerre n'est-ce pas ? J'ai justement un travail très juteux pour vous.

Tramor déposa des croquis très explicites sur un plan de travail...

- Ceci est extrêmement confidentiel ! Vos artisans, et vous aurez besoin d'eux en grand nombre, devront travailler dans le plus grand secret ! Ce projet est l'avenir de Metru Nui, et de sa sécurité ! Et peut-être une aide colossale dans notre mission de réveiller Mata Nui...

Le Commandant Exo-Jal veillera sur votre sécurité et l'avancement des travaux...

Le forgeron semblait perplexe...

- Alors, partant ?

« Mmh... Et comment ! »

Les deux êtres se tendirent les poings en signe de salut...

- Vous avez un mois, brave artisan ! Tenez vos délais, vous travaillez pour le Moto-Hub à présent.

Et Tramor s'en alla...

En attendent des nouvelles de ses commende ala se promener il vit le rire des enfants et le bonheur des mères mais aussi le malheur des pères
_tu nous fait une solde sur tes masques sinon on te fait une solde sur nos lames :un coup d'épé gratuit
_pitier je ne peut pas fair sa :sa me ruinerer
et skiro reagi :_c'est toujour facile pour un skakdi de menacer un matoran
_et toi tes qui pour sucrer mes affaires ta jamais reussi à utiliser ta vision impac
et skiro sorti sa lame ,manque de vitesse le skakdi sorti la sienne ,l'arme de skiro n'etais pas tranchante mais lourde :il brisa la lame du skakdi se dernier se rebella ! Une etacelle sorti du regard de skiro et le skakdi s'en alla avec du meprit pour skiro .Le matoran ofrit à skiro 100 mikoki qu'il ofrit à son tour à la mère et l'enfant.

Je finis ma balade à l'atelier de forge. Pendant ce temps, le communicateur ne m'indiquais aucune mission...
Un peu dessus, je me téléporta à Destral...

Une mélopée lancinante avait pendant toute une journée accompagné les raclures de disques et les crépitements du feu. Plus que jamais, la forge avait paru au Turaga un lieu mystique, ou le chant grave des matorans se mêlait à une fumée suggestive et à la douce chaleur ambiante. C'est ainsi que se terminait le joug du Protectorat : par ce chant des enfers.

Cette forge était sûrement l'une des seule à ne pas être totalement vidée : cinq matoran y travaillaient encore, comme insensible à la liesse générale, mais plutôt commençant avant d'autre leur travail de titan. En effet, de nouvelles tours se dressaient de plus en plus dans tout Metru-Nui, où la plupart de la population matoran s'était rassemblée.

Dans la rue, c'était la fête, le bruit, les couleurs, la poussière, les cris. Le turaga avait réussis à s'extirper de la masse pour s'engager dans une petite ruelle. Ce n'était pas sa fête. Il était partit du champ de bataille, n'était pas revenus. Il ne reviendrait pas. C'était la dernière bataille, et, si il y avait quelqu'un que ça attristait, c'était bien lui.

Encore serait il heureux si il avait put y participer jusqu'à la fin. Au moins aurait il put voir tout, sentir une dernière fois tout son corps crier souffrance, demander à s'arrêter, et part un effort de volonté qui l'aurait remplit de complaisance, il aurait réussis à continuer, à ne pas se laisser dominer par quelque bête qui sommeillait en lui et à mourir ou à vaincre comme il était venu : libre.

Mais non, la capsule l'avait entraîné loin, ici, et le maintenant était certes beau, mais plus assez pour l'ex-commandant, égoïste avide d'exploit guerrier. Que pouvait-t-il faire maintenant. "Sur Mata-Nui, tout est possible" lui avait-t-on dit un jour. Qui avait-t-il d'impossible à réaliser ? Tant de chose sont banales, qui sortent dans les journaux, mais ce n'était pas pour les journaux. C'était pour se prouver qu'il était encore capable. Que n'avait-t-il déjà fait de risqué ? Il avait survécut tout le long d'une campagne militaire, avait même fait face à un Séide et parlé comme si de rien n'était avec le Maître. Et cela, en tant que Toa puis Turaga.

Pourquoi était-il ici ?

Au départ, il n'était que simple forgeron, avait commencé ainsi, mais avait terminé comme le metruan ayant à peu près autant de connaissance sur Metru-Nui qu'un toa. Il avait ensuite tout oublié, mais là encore, son chemin était tracé : Vakama l'avait posté chef de la garde à la mort de Jaller, dont il avait, dans un excès de fierté, pris le nom. Il avait ensuite combattu avec les membres de l'ordre en tant que Matoran, car il était chef des gardes, et qu'il n'avait pas eu le choix, bénéficiant d'un entraînement aux armes et aux machines dont peu, après, aurait put se targuer d'en connaître autant. Il avait ensuite était repéré, par les Grands Êtres eux mêmes, et était devenu leur serviteur en même temps qu'un Toa. Là encore, on lui avait dit de demander la paix, de faire preuve de valeur au combat, et il l'avait fait.

Enfin, Tramor était partit, et il s'était retrouvé à la tête d'une faction afin de combattre le maître. Son parcours était net, bien tracé, et voilà que le virage, qu'il pouvait déjà voir et qu'il avait déjà anticipé, entreprenant une vie d'ermite, sachant pertinemment que lorsque cela se passerais, il serait là, voilà qu'il le ratait.

Qu'était il, si ce n'est qu'une loque ? Personne, maintenant, ne pouvait lui indiquer la marche à suivre. On lui disait de seconder Dume, mais il ne voulait pas être Dume, le quotidien, les plaques de protodermis, ce serait bien trop frustrant ... Devenir, comme Shas'ui avant lui, un vagabond ? Il l'avait déjà expérimenté, ce mode de vie était bon, sans équivoque, mais il n'y avait plus goût. Redevenir forgeron ? Le calme de la forge, cette mélopée qui l'emplissait, à quoi bon quand le calme avait déserté son coeur ?

Continuer à se battre ?

Continuer à se battre ...

Contre qui, contre quoi ? Il avait toujours suivit la voie qui lui paraissait juste, celle qu'il penser être la meilleur pour lui comme pour les autres ...

Continuer à se battre ...

Il n'était qu'un turaga rabougris. Ça non plus, ça ne convenait pas. S'éteindre. Enfin, pour toujours, achever le cycle qu'il avait commencé, turaga Vakama lui même le lui avait dit avant sa mort : le Turaga devient une légende.
Qu'avait on prévu comme légende pour lui ? Celui qui n'avait pas assisté à la dernière bataille ?

Il eut un rire sec. La mélopée s'arrêta.

Il sortit, alla au Colisée, débrancha toute sorte de localisateur de son ussanui et partit, traversant Metru-Nui en trombe, riant à plein poumon comme un fou.

Les forges étaient comme à leur habitude totalement illuminées par les centaines de fours qui fonctionnaient à plein régime sans arrêt aucun. Le bruit cassant des marteaux sur les futures lames et des centaines de machines emplissaient l'air, repoussant le silence à des dizaines de kios à la ronde. Même la formidable fête qui avait suivi la défaite du Traître - et qui poursuivait encore son cours - n'avait pas pu faire s'arrêter les immenses usines de Ta-metru.

Et alors qu'une énorme cargaison de Protodermis s'apprêtait à partir pour les salles d'exposition d'Odina, une ombre apparut furtivement non loin des ateliers de fabrication de kanohis, avant de disparaître à l'intérieur. Une ferveur à nulle autre pareille régnait à l'intérieur du bâtiment, et alors que des dizaines de masques de pouvoirs étaient créés chaque jour, les forgerons qui s'attelaient à la fabrication des Grands Masques Kanohis ne s'arrêtaient presque jamais, n'éloignant leur regard de leur oeuvre que lorsque celle-ci était terminée ou ratée, et qu'il fallait alors prendre un autre kanoka pour recommencer. Le travail de ces forgerons hors pair apportait autrefois une part non négligeable des recettes de la Triade. Désormais, Ta-metru profitait elle-seule des bénéfices, et commençait à gagner du terrain sur les deux metrus adjacents. Le développement de ce quartier de Ta-metru se voyait également par la construction de nouveaux sites industriels, ainsi que par le réaménagement de nombreuses fonderies, en vue d'un meilleur rendement.

L'ombre réapparut alors, mais cette fois-ci dans les hauteurs de Ta-metru. Là, les rares appartements appartenaient aux ouvriers les plus pauvres, qui ne pouvaient se payer des habitations loin de la pollution et du bruit continuel des forges. Parmi eux, un très vieux turaga, qui ne travaillait plus depuis qu'il avait perdu ses pouvoirs de toa, avait élu domicile au sommet d'un fabrique de kanohis. Il avait autrefois travaillé dans ces forges, et avait créé de ses propres mains de nombreux chefs d'oeuvre qui s'étaient venus à prix d'or. Mais il avait gardé pour lui pendant quelques temps un Grand Calix, dont il s'était servi en étant toa, puis qu'il avait vendu à un skakdi après sa transformation en turaga. Pendant des années, il s'était servi du Calix pour combattre les ennemis du Grand Esprit. Il croyait qu'il en avait définitivement terminé avec les Makutas, qu'il avait affronté au cours de nombreuses batailles. Il se trompait.

Car l'Ombre arriva bientôt chez lui, et, sans un bruit, pénétra dans son domicile. Le turaga se trouvait alors sur le balcon, en train d'observer la cité des légendes. Il ne fut nullement apeuré par l'arrivée du makuta. Il se retourna juste, et, en voyant le Calix sur le visage de l'intrus, il comprit tout de suite.

-Ooooh... je vois... j'imagine que vous avez besoin de moi. Ce vieux masque m'a plusieurs fois sauvé la mise, vous savez. Mais il faut savoir l'utiliser.

Mes appartements sont trop petits, pas assez cachés du reste de la cité, et franchement, je m'y ennuie depuis quelques temps. Trouvez-nous un endroit plus grand, discret et désert. L'île de Mata-nui n'existe plus, et bien pourquoi pas... Zakaz ? Les génocides de l'Alliance y ont fait malheureusement des centaines de victimes, mais les matorans ne recommencent qu'à peine à s'y réinstaller. Nous y serions tranquilles.

Le makuta s'approcha du turaga, posa une main sur son épaule, et les deux êtres disparurent, alors que la luminosité ambiante remontait d'un coup, comme si l'Ombre avait emporté une part des ténèbres environnantes avec lui...

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