[Vallée du Labyrinthe] Appartement de Ikinat

La guerrière de glace se reposer actuellement, pensive pour la suite des évènements. Le récent incident avec le skrall de Tuma lui indiquer qu'elle avait encore des failles, trop de faille. Dans sa méthode de combattre, son équipement. Il fallait aussi s'occuper de ce robot qui était arrivé il y a peu. De cette chose des grands êtres qui finiraient par les détruire, comme tous les autres, si rien n'était fait. Elle était d'accord sur un point, quelques choses devait changées. Dans l'organisation, dans les permissions, dans cette guerre. Elle se leva, avec une certaine douleur, les médecins de la forteresse l'avaient secouru, recousu ses blessures, mais elle n'en resterai pas moins affaiblit si elle ne pouvait, ou ne voulait pas aller à l’hôpital de Tajun. Elle se dirigea vers un coffre poussiéreux à l'angle de son appartement, sortant de nulle part une petite clef, l'introduisant doucement dans la serrure, puis tourna délicatement la clef dans un légers grincement. Le coffre s'entrouvrit en dévoilant son contenue garder si précieusement, un autre coffre qui cette fois nécessité une combinaison. La glatorian tourna une à une les roues, un légers craquement s'en suivit, puis un grincement, pour qu'enfin le coffre s'ouvre. Celui-ci enfermé en son sein une autre clef, une clef doré où était sculpté un flocon. Elle la saisit, puis la rangea.
- Il sera surement nécessaire de reprendre ce que j'y ai laissé. se dit elle pour elle même
Elle prit ensuite son communicateur, disant quelques phrases, quelques ordres. Enfin elle se recoucha sur son lit, attendant et pensant encore.

Cela faisait maintenant trois jours qu'Ikinat était revenus dans la base suprême des fantômes, trois jours qu'elle c'était rendu dans ses quartiers et ne les avaient pas quitter, n'ayant émis aucun ordre pendant cette période, aucune indication, aucun semblant de réponse à la question que tous le monde se posait ici, pourquoi déclaré maintenant la guerre aux habitants de l'Ultime Machine. N'aurait-elle pas dût attendre d'avoir les skralls à sa merci, si cela était arrivé un jour, plutôt que de s’engouffrer dans deux guerres sur deux fronts et risquer ainsi l'avenir entier de l'organisation, non, de la nation agori? Aujourd'hui, devant la porte des quartiers d'Ikinat se dressait un glatorian à l'armure bleu et rouge, il frappa à la porte.
- Soldat Nakito, vous vouliez me voir Dame Ikinat?
La porte qui était resté verrouiller trois jours s'ouvrit d'un grincement sourd et le glatorian entra. Au premiers pas il compris ce que faisait son supérieur dans cette salle, partout dans la salle trainé des tuyaux, reliant des machines à d'autres, des générateurs à ces machines, et au bout de la chaine se trouvait Ikinat. Différent tuyaux connecté aux différent implants mécaniques de son corps. L'utilisation d'implant n'était pas le plus commun chez les glatorians, fabriqué avec des débris ils permettaient entre autres d'amélioré certaines capacités physiques ou même d'aider à soigner des blessures graves, c'était la première fois que ce soldat voyer des implants relié à un tel dispositif. La tête d'Ikinat se leva, elle souriait d'un sourire malsain.
- Je pense que ça fonctionne assez bien pour me faire tenir encore quelques années. Murmura-t-elle.
Elle tira alors avec son bras, puis sa jambe, un à un les différents fils reliés à la glatorian se déconnectèrent et tombèrent au sol. Le soldat se souvint alors qu'Ikinat est une des vétérans de la guerre du cœur, il était évident qu'elle était bien plus age que la plupart des être présent sur cette planète, son corps n'était plus se qu'il était à l'époque, il était possible qu'elle eut appel à ce type d'appareil pour prolonger sa vie. Nakito se ressaisit et alla soutenir sa supérieur l'aidant à se défaire de ces différents appareils. Il se rendit compte qu'elle portait une autre armure que celle qu'elle endossait habituellement, il s'écarta d'un pas une fois sa supérieur libre de ses mouvements, celle ci se dirigea vers la porte. Elle s'arrêta à un mètre de celle ci, se tournant vers son subordonné.
- Elle vous habite aussi... Vous êtes la troisième personne que j'ai rencontrer à avoir la haine enraciner aussi profondément dans votre cœur, mais contre qui est-elle dirigé? ... Ce n'est pas grave.
Venez, mon nouveau lieutenant, nous avons encore à convaincre le peuple de notre cause, sans quoi nous ne pourrons rien.