[Vallée du labyrinthe] La Forteresse des Fantômes

Après un moment de marche, Volok et Armageddon, accompagné de Colbalt, et suivi par Tanika, arrivèrent a la forteresse des fantômes, bâti il y a de cela un moment.
Armageddon confia Ikinat aux personnes qualifié, et dit :

-Colbalt, Ikinat sera rétabli dans quelque jour, resté dans la Vallée du Labyrinthe, une fois qu'elle sera rétablie, je pense que vous pourrez conclure l'alliance. Et toi Tanika, fait se que tu veux, je sais pas pourquoi tu est là, fait se que tu veux, j'en ai rien a faire. Sur ceux, au revoir.

Armageddon poussa Volok, sur son planeur, en direction d'une autre forteresse, plus loin d'ici.

Les soldats fantômes devaient vraiment sauter de joie en voyant Volok, Colbalt et Tanika arriver en transportant Ikinat toujours inconsciente. Ils furent accueillis comme des héros et acclamés comme ils se devaient. Tanika dit aux soldats qui l'ont accueillis qu'ils pourront remercier aussi les forces de la confrérie makuta ainsi que d'autres guerriers comme Gladius et Raidark. Une unité médicale fut amenée de la plus haute urgence pour s'occuper de Ikinat. Armageddon avait laissé Colbalt et Tanika dans la courre de la forteresse en disant au chef de la Main qu'il pourra conclure son pacte avec les fantômes dès que Ikinat sera à nouveau sur pied.

-bon, bah si vous n'avez plus besoin de moi, je m'en vais, dit Tanika aux soldats et à Colbalt. J'ai été ravie de vous aider. J'espère que nous nous reverrons rapidement. Nous reparlerons de Triade tous ensemble, seigneur Colbalt, mais pas avant que Ikinat aie soigné ses blessures et pas en ce lieu. Sur ce, au revoir.

elle partit de la forteresse. Se mit à courir pour prendre son élan et s'envoler. Elle alla droit vers les montagnes quartziques blanches pour rallier l'univers Matoran. Elle sortit son communicateur et envoya un message aux autres membres de l'équipe Alpha.

"je suis en route pour l'entrée de l'univers matoran, rejoignez moi là bas"

Le vent frais de la montagne, le froid mordant ses membres et à terre le sang chaud tachant la neige d'un rouge macabre. Au milieu de ce flot de sang, au sommet de cette montagne rouge, était là debout la chef de la plus puissante organisation révolutionnaire de la planète des sables. Les rafales de vent s'intensifièrent alors la poudreuse rouge se leva alors, tourbillonnant dans un tourbillon de poussières rouges.

- Pourquoi? Ces mots sortirent comme un murmure de la bouche d'Ikinat, inaudible aux oreilles des cadavres aux sols. Une fois l'écho passé, le silence vînt à nouveau s'installer au sommet de la montagne ensanglanté. La glatorian resta debout pendant un long moment, rien ne se passa, absolument rien hormis le bruit du vent... le soleil déclinait peu à peu, les rafales se renforcèrent encore une fois et dans cette tempête se préparant un rire émergea. Un rire sinistre, un rire sombre, froid. Des mots peu à peu se formèrent, sans jamais que ce rire ne quitte la voix se formant avec le vent.

- Toujours a pensé à ça ? Toujours le même cauchemard?

Ikinat ne bougeait toujours pas, le vent baladant sa cape en tout côté. La montagne disparut alors dans une bourrasque, devenant un désert immense, taché lui aussi du sang d'innombrables cadavres. Le ciel sembla s'ouvrir, avalant absolument tout le paysage, ne laissant qu'Ikinat dans un vide absolu.

Dans ces ténèbres impalpables perça pourtant une lumière, une lumière oppressante, éclairant un nouveau chemin ensanglanté. Peu à peu la lumière se regroupa, se réassembla et apparut devant la glatorian un autre être semblable à elle-même, mais possédant une armure de couleur noir.

- Te souviens tu pourquoi ton armure est blanche et rouge?

- Pour ne jamais oublier que mon chemin fut taché de sang.

- Pour ne jamais oublier que ta vie est taché de sang, et elle le restera, jusqu'à ce que ton propre sang coule à terre... Pathétique créature, tes jours sont comptés.

Après approximativement 3 jours de repos, Ikinat se réveilla en sursaut dans l'une des chambres de la forteresse. Elle tenta immédiatemenet de se lever, mais une douleur assaillit ses jambes qui ne répondirent pas à l'ordre donner par son cerveau encore confus.

- Oh? Vous êtes réveillés? Cette voix était celle d'une agori infirmière qui venait d'entrer dans la pièce, Vous ne devriez pas vous lever, malgré les soins pratiqués votre corps ne s'est pas entièrement remis de ce que vous avez vécu, vos muscles sont allés aux delà de leurs limites, vous devrez sans doute attendre une journée de plus avant de pouvoir bouger. Aussi, ce toa à l'armure argenté voudriez vous parler.

- Dites lui simplement que l'on finalisera ce que l'on a commencé demain. Et apportait moi les derniers rapports, nous devons nous remettre en action le plus vite possible.

Voilà un moment que le Jeune Souverain attendait son entrée dans la Forteresse. Il était resté là, assis devant la grille, accompagné de Glatorian Gardes...et de son Fikou bleu. Colbalt avait les jambes légèrement écartés,affalés sur le sable, attendant son autorisation à entrer. Quelque chose commença à faire frissonner son bras: il tendit son bras, et le Fikou Bleu apparut, grimpa sur son bras pour arriver à la paume de sa main. Il murmura quelques cris stridents.

-Cri cri !
-Tout est fini, petit. Nos heures sont comptés. Chaque minutes passe, sans qu'on s'en rendent compte. Tout le monde attend patiemment sa mort. Toute fin à un commencement mais tout voyage a une première étape alors, profitons nos derniers instants pour changer le monde tel que nous le voulons, et tel que le monde le souhaite. Nous avons tous une destinée-...
-À faire, interrompit une voix.

Cette voix, elle était amicale et familière. Ardan, soi-disant Toa de la Lave, était là, debout devant son ami. Il sourit.

-Alors c'est vrai, tu as battu Tericarax.
-Non, c'est totalement faux. C'était juste un rappel à l'ordre.
-Un rappel à ... ?
-Nous sommes tous destinés à mourir. Mais Tericarax a oublié une chose: nous sommes tous destiné à changer quelque chose, qui perdura après notre mort.
-C'est vrai...alors ?
-?
-Alors la Triade ?
-Oh ça...

Colbalt était resté devant la grille de la forteresse en attendant qu'Ikinat soit apte à le recevoir, soudain cette fameuse grille s'ouvrit, laissant les deux toa pénétré dans la forteresse, un des soldats guida alors le souverain de la main vers la pièce ou auront lieux les négociations. Après plusieurs minutes le souverain entra dans une salle circulaire, au centre se tenait une petite table. Ikinat était la seule personne présente dans la salle, et une fois que colbalt eu passé la porte celle ci ce referma, laissant les deux souverains seul.
- Bien, nous pouvons commencer.

Alors qu'Ardan et Colbalt bavardaient, la grille de la Forteresse s'ouvra. Colbalt s'exclama alors ne se levant.
-Je crois qu'il est temps de négociations.
-Je peux t'accompagner ?
-Non ça ira. Je peux le faire moi-même. Rentre chez toi, je suis sûr qu'Azurah se sent seule...
-Qu'est-ce tu racontes ?
-Non rien, ricana le jeune Souverain.

Ardan partait alors et un garde venait chercher le Toa l'amenait dans la salle des négociations où Ikinat était présent. Colbalt la salua donc et s'assit.

-Mes très chers salutations, Ikinat. J'espère que vous vous sentez mieux. Je remarque que maintenant, tout ce qui se passeras sera l'œuvre du destin...Tericarax, les Skralls...de toute façon, dans ce monde, la guerre ne meurt jamais, elle éternelle, mais nous pouvons restreindre cette guerre au maximum, tous uni. La Paix est le rêve de tous. C'est un peu mes convictions pour cette alliance. Bref, passons. Voulez-vous dire quelque chose en particulier avant ? demandait-il poliment.

- Mon peuple souffre sur cette planète de sables depuis plus de 100.000 ans à cause de nos erreurs, et de vos créateurs (Ikinat insista sur ce point), peu a peu nous avions installé une paix relative mais tous nos efforts furent mis à néant par les skralls. Las fantômes des sables est une faction dont le seul but est de faire retrouvé aux peuples sa liberté, en l’unissant sous une seule bannière. Soyez conscient que nous avons des obligations envers notre peuple, et que, vous avez dût le remarquer, nous affrontons un ennemi perfide et puissant. L'alliance que nous allons passé ne nous seras bénéfique que si nous arrivons a vaincre ces êtres perfides et belliqueux que sont les skralls. Vos terres étant dans un temps relatifs de paix, nous ne pourrons vous remboursez l'aide que vous nous donneriez que de deux manières, par le commerce, les habitants de notre planète étant d’excellent commerçant, ou bien en vous cédant une partie de nos terres. Nous pouvons aussi bien protéger vos futurs colonies dans notre planète.
Aussi j'aimerai vous dire que cette alliance que nous mettons au point est un engagement, Pour vous de nous aidez dans notre lutte, et pour nous de vous aidez à vous implantez dans la planète des sables, voir de vous soutenir financièrement ou politiquement.

* Crois-tu vraiment en ce que tu dis petite Ikinat? Va-tu-réellement aidé des machines à tuer des Grands êtres?
- La ferme. *

Par ailleurs, après plusieurs débats, mes généraux et moi nous sommes décider de lancer dans peu de temps une attaque sur la forêt des lames et sur la rivière Dormus. Nous souhaiterions votre participation. Si nous gagnions le contrôle de ces régions, nous sommes prêt à les laissés sous la juridiction de la main.

Colbalt semblait légèrement troublé par les propos de la Fantôme, mais reprit conscience.

-Et bien, comme vous le savez, je suis contre la guerre, mais pour la liberté et la paix. Mon peuple n'existe simplement pour être libre. Mais de toute façon, nous ne faisons jamais les parfaits choix. Je libérais votre peuple de la prison des Skralls ...

* Je conduirais ton peuple vers ce qu'il souhaite... tout le monde doit connaître la Paix.*pensait-il avec un regarde noir.

Vous voyez ce que je veux dire. Reprenons. Malgré que le peuple Agori soient de forts bons commerçant, je me tenterais bien d'une nouvelle terre, elle me servira aussi d'une nouvelle forge cependant pour détenir ces nouvelles terres, je crains que l'assaut seras retardé puisque mon armée militaire est trop faible. Je suis spécialisé sur la défensive, pas l'offensive j'aurais aimé que les Fantômes patiente que je fasse un aller-retour agaçant dans mon monde natale. Ainsi, je crois que nous aurons tous les soutiens possibles.

- Bien, je considère donc que notre alliance est passé. Ne vous inquiéter pas pour l'aller, nos amis de l'ordre nous ont laissé une personne avec un pouvoir bien utile. Attendez moi je vais aller le chercher.

Quelques minutes passèrent pour le toa, puis Ikinat revenu accompagné d'un grand personnage doré vêtu d'une armure lourde et d'un Olmak.

- Brutaka, pouvez vous téléporter Colbalt dans l'UM s'il vous plait?

Alors à peine que Brutaka téléporta Colbalt, Ardan, le Toa de la Main ami du souverain, entra en catastrophe dans la salle:

-Pardonnez moi de mon impolitesse, Souveraine, mais Vulcanus vient d'être attaqué par les Skralls je venais tout juste de voir cela ! Colbalt ! Il faut ramener les forces !

Hélas, Colbalt devra encore risquer sa minuscule troupe de Vahki à se jeter dans la gueule d'un loup de fer. Le souverain, désespéré, demanda alors à son ami.

-Ramène les troupes les plus vites possibles, et Azurah en même temps, elle ne sera très utile. Essaie de voir si l'équipe de Rajeus est disponible. Ma chère Ikinat, la bataille est déclaré, dit-il en chargeant son fusil. Ardan demanda alors à Brutaka de ramener les troupes Artakhanistes au plus vite. Le Toa de la Lave et le Titan disparut.

Ikinat soupira, puis se saisit de son communicateur écoutant les appels sur la fréquence.

- Contactez Volok et dîtes lui de s'occuper de Vulcanus, envoyer lui des troupes en renforts. Je m'en vais le rejoindre également, merci de préparer un Skopio. Demander à Axonn d'être aux aguets d'une éventuelle nouvelle attaque.
Colbalt, je vous prie de m'excusez mais je dois partir immédiatement.

Ikinat sortit alors de la forteresse, rejoignant sa troupe ainsi que le Skopio qui lui servirais durant cette bataille. et elle se dirigea immédiatement vers le sud en surveillant les communications.

La chaleur ardente du désert, le sable voletant au grès du vent, une image devenu familière pour tous les bara magnien. La seule chose qui avait changer depuis toutes ces années c'était l'apparition il y a quelques mois d'une entité nommé Mata nui, appelé l'Ultime Machine des grands êtres sur la planète des sables. Un corps assez particulier ce déplaçait dans les sables aujourd'hui, 5 soldats marchaient en formation, entourant un véhicule rouge et distinct, le Skopio, l'un des skopio possédait par les fantômes des sables. Alors que ce cortège avançait rapidement dans le désert, un sifflement fut émis, provenant d'un espace profondément sous terre, s'était l'heure du repas pour les vipère des sables. Le cortège commença à ralentir pour finalement s'arrêter, ils n'était qu'à une dizaine de Kio de leur destination, la vallée du labyrinthe, mais les soldats commençaient à se relâcher, il leur fallait une pause. Chacun s'installa dans son petit coin, l'un mangeant, l'autre lisant, l'autre réfléchissait nerveusement à la tournure des évènements, un autre encore s'écarta pour respirer le bon air du désert, le dernier des gardes du corps d'Ikinat se tenait impassible adossé au Skopio. Ikinat, elle soupira et regarda avec une certaine étincelle le colosse métallique debout sur la planète. Un moment plus ou moins donc calme, jusqu'à ce que l'un des soldats, celui s'étant écartés du véhicule de la dirigeante, se vit entrainé aux plus profonds des sables. Une attaque de créatures, tous déjà étaient passé en état d'alerte, surgit alors six vipères qui prirent le groupe en tenaille. Des quatre guerriers au service de la souveraine des fantômes, en deux minutes il n'en restait qu'un debout. Ce dernier était un soldat engagé il y a peu, du moins il n'était pas là depuis suffisamment longtemps pour qu'Ikinat ne se souvienne de lui. Son armure était bleu et parsemé de rouge, ses mouvements experts, pas un geste inutile, pas une fausse manœuvre. A lui seul il se débarrassa de cinq des vipères, les autres n'avaient pas une bride du talent de ce jeune guerrier, et la preuve était qu'ils étaient déjà à terres face à des ennemis aussi pathétique. La dernière vipère s’approcha de lui par derrière, alors qu'il s’apprêtait à la trancher à son tour le guerrier n'eut besoin de rien faire, un thornax vînt achever en un coups la créature. Il se tourna vers sa souveraine, elle était à terre, son canon à la main, un sourire aux lèvres. Cette recrue était intéressante, c'est ce qui lui traversa l'esprit. Elle vînt se planter devant lui.
- Votre nom? demanda t-elle.
- Nakito
Elle le regarda un moment, puis se détourna et regagnait son véhicule. - Vous me rejoindrez quand nous serons rentrer.

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La foule s’était massée devant une plateforme montée spécialement pour l’occasion dans la cour de la forteresse. Tous n’attendait qu’une chose, qu’apparaisse Ikinat, car oui aujourd’hui était le jour où elle expliquera devant les habitants de Bara magna. Un jour important pour la cheffe des fantômes, car si elle se montrer peu convaincante dans son argumentation elle perdra le soutient du peuple, et le peuple est le moteur d’un pays. Sans le sentiment qu’ils font cela pour une cause juste, les soldats finiront par lâcher leurs chefs actuelles et créerons des divisions peu enviable pour la guerre. Alors que la place était envahi par le brouhaha de la foule, tous se tus en un instant, dès lors que Ikinat pénétra la place. Elle leva la tête et commença son monologue.
- Peuple de Bara magna, vous avez sans doute entendu la récente rumeur comme quoi les relations entre nous et les habitants de l’Ultime Machine s’étaient … Compliqué. Certain discute mon autorité et ma capacité à diriger. Je viens vous dire une chose, il est vrai que la guerre est déclaré entre nos deux peuples, il est vrai que nous ne pourrons surement pas continuer de combattre si nous élargissons les fronts… Mais il en va de l’avenir de notre peuple. Notre seul espoir de survie à ce jour n’est pas de combattre l’empire de Tuma, non, aujourd’hui nous devons essayer de retrouver ce que nous avons perdu lors de la page la plus noir de notre histoire. Notre espoir ce trouve en ce robot géant, il habite les dernières brides de ce qui était autrefois notre monde et seul lui pourra nous permettre de recrée notre paradis, Spherus Magna. Nous devons en prendre le contrôle, forcer ce Mata nui à abdiquer, à nous rendre notre dût. Notre survie ne dépend que de nous, allons-nous attendre de nous faire exterminer, par les skralls mais également par cette univers ou allons-nous essayer récupéré ce qui nous garantira notre survie. Nous devons récupérer les ressources qui sont à l’origine de nos conflits perpétuelles, nous devons refaire la grandeur de notre peuple ! Et la première étape pour récupéré notre grandeur d’antan, à l'époque où nous n'avions pas à mener des armées pour une oasis dans le désert, et de prendre le contrôle de l'accès à cette univers qui nous est dût !
Ikinat leva le poing et tous se mire-t-à applaudir leur cheffe. Etait-il convaincu de la nécessité de cette guerre? En tout cas il fallait pour Ikinat régler deux problème maintenant, il lui fallait conclure un marché avec les skralls, et défaire du contrôle des matorans les régions enneigés.

Volok avait suivi Ikinat juste ici et c'était glissé dans la masse, et avait écouté le discours de sa chef, les yeux vides, il dit :

-Alors ça être solution... Ça être... Ridicule... Elle folle... Moi avoir intégré fantôme pour venger moi de Tuma, et elle... Elle soi disant libératrice de nous, retourne contre ancien allié de Univers Matoran pour récupérer Spherus, alors que si elle être intelligente, elle savoir que elle pourrait faire ça elle même.

Le Vorox bleu avait pensé a haute voix, mais ne c'était pas fait entendre, et il semblait comme désorienté premièrement, puis entra dans une colère noire, il repris les commande de sa machine et continua de suivre Ikinat.

Alors qu'Ikinat et sa garde personnel s'apprêtait à partir, Ikinat fit s'arrêter son véhicule, se retournant en direction du petit Vorox qui la suivait. Il s'agissait de Vorox, un soldat parmi d'autre.
- Lieutenant Nakito, combien de temps nous faut-il pour le prochain objectif?
- Une semaine au minimum, voir deux si nous y allons à ce nombre. L'être qu'avait interrogé Ikinat était inconnu du Vorox, il ne l'avait jamais vu auparavant, et le vorox avait eu un frisson quand il l'entendit parler. Il ne sut pas pourquoi, était-ce son instinct plus développer que la plupart des êtres de la planète? Ou alors était-ce sa manière de parler, ses gestes, un réflexe ou même une possible brise du désert plus froide que les autres?
- Bien. Si vous voulez discuter nous le ferons en route soldat, vous venez avec moi, nous avons des choses à faire et vous pourriez nous aider.